Balzac et la petite tailleuse chinoise- Dai Sijie (228 pages)

Pour les grands lecteurs comme moi, ce livre est forcément très important. Dans une Chine des années 70, où avoir de l’instruction est déjà subversif, posséder des livres, à fortiori de littérature étrangère, est en soi passible de prison.

Deux jeunes hommes qui ont été au collège et dont les parents sont en prison car les médecins ont également été persécutés se retrouvent en rééducation dans un village de montagne.

Une petite tailleuse, la plus belle fille de la montagne et la découverte d’une valise de livres vont les changer à jamais. Encore une fois, on est heureux de vivre dans un pays où étudier est un droit, que c’est même obligatoire jusqu’à 16 ans et où lire est un passe temps socialement et politiquement accepté. Vive la liberté !

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