Bussi nous écrit 4 nouvelles, dont la première, la plus longue, donne le titre. Toutes sont menées comme des enquêtes policières, même si seule la dernière en est vraiment une. Quel est donc ce secret qu’Anaïs Aubert, actrice oubliable et oubliée du 19ème siècle emmenait avec elle en quittant Paris à bride abattue pour s’installer sur la côte d’Albâtre ? Cette première nouvelle est la meilleure de l’ouvrage, les autres sont de gentilles historiettes pour meubler. En parlant de meuble, que cache cette armoire normande dont le propriétaire, bizarre, ne veut pas qu’on touche ? Et où est sa femme qui semble avoir disparu ? D’où vient cette odeur terrible qui s’installe au cours du séjour ? C’est sympathique mais ce n’est pas son meilleur.
T’en souviens-tu mon Anaïs-Michel Bussi (299 pages)
