La suite des aventures de Marcus Goldman qui utilise sa vie pour écrire des romans. L’effet de surprise passé avec « La vérité sur l’affaire Harry Québert« , on retrouve dans cet opus les mêmes ficelles qui font de Joël Dicker un bon romancier. Alors, oui c’est bien, mais le premier est vraiment mieux.
Le livre des Baltimore – Joël Dicker (472 pages)
