Seules les bêtes – Colin Niel (212 pages)

Le polar du prix j’ai lu, j’élis. Evelyne a disparu un soir de tourmente. Dans ce village de montagne où tout se sait et où tout le monde se connaît, les agriculteurs peinent à vivre. Entre dettes et solitude, on devient vite fou. 5 personnes se succèdent pour raconter ce qu’ils savent de cette histoire.

Tout se complique lorsque le mari de l’assistante sociale disparaît à son tour. La fin est glaçante. Ce livre est l’histoire de la misère affective dans laquelle beaucoup de personnes vivent de nos jours. Et quand on est éleveur au fin fond d’une montagne, seules les bêtes savent réconforter. On met un moment avant de comprendre la couverture, qui semble fort éloignée de la montagne. 
Brillant.

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