Un passage par hasard à la bibliothèque du village et le seul Norek pas encore lu disponible, j’ai foncé, bien sûr.
On retrouve l’équipe au complet, Victor, Johanna, Ronan, Sam et Léa sur une affaire d’enlèvement. Mais le livre démarre sur un entretien de Victor par la psy affectée à la SDPJ du 93, où notre Victor est fort affaibli, désabusé, anéanti, en surtension; on comprend qu’il souhaite arrêter son activité car il a tué deux personnes. Un cas de légitime défense, et un membre de son équipe. En fait, un membre de son équipe est mort et il se sent personnellement responsable.
Donc on galope dans le livre qui se lit en moins de deux car à chaque page, on s’attend au pire que l’on sait déjà. Mais qui ???? L’attente est insoutenable, et on n’a pas envie qu’un seul des membres de cette équipe formidable ne meure. Alors on pleure à la fin, forcément. En dire plus serait dévoiler l’intrigue, donc je ne dis rien de plus. Olivier Norek a pris son rythme de croisière dans l’écriture de ses polars, et ça se boit comme du petit lait.
Une réflexion au sujet de « Surtensions – Olivier Norek (500 pages) »