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Opium – Géza Csáth, traduit du hongrois par Eva Brabant Gero et Emmanuel Danjoy (234 pages)


Ce psychiatre et écrivain a été longtemps proscrit. Dépendant à la morphine, avec des tendances paranoïaques, il a tué sa femme et s’est suicidé peu après. C’est un bon résumé de ce que vous trouverez dans ses nouvelles morbides. C’est pas très livre de plage, les tortures sur les animaux et les gens.

Un tantinet too much pour moi.

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