Ce livre culte en partie autobiographique a fait un carton dès sa sortie. Pour ma part, passées les 200 premières pages plutôt rigolotes sur ce psychiatre New-Yorkais qui prend les décisions de sa vie en tirant les dés, on tourne un peu en rond. Choisissant des alternatives de plus en plus extrêmes, on reste néanmoins sur un schéma très similaire sur les 336 pages qui suivent. Pur produit de la contre-culture, volontairement ultraprovocateur, certains passages sont très durs, faisant l’apologie du viol, de la consommation de drogue et du meurtre. D’autres, heureusement , sont extrêmement réjouissants et jubilatoires. C’est également amusant de voir comment Un homme blanc traitait le sujet du genre, et de l’homosexualité en 1971.
Je vais lancer un dé pour savoir si j’ai aimé un peu, beaucoup ou pas du tout ce roman.
