Comment parler de ce livre ? Du style poétique et cru de Giono, de l’accent qu’on entend entre les lignes ? Des odeurs qu’il nous fait sentir ? De cette histoire de gens rudes de la montagne? De Grenoble en 1843?
Je pense que ces trois courts extraits en parleront mieux que moi :
“Naturellement, robe à éblouir : moires, jais, satin, dentelles et même, malgré sa grosseur naturelle, un soupçon de tournure qui lui donnait un petit air faisanne.”
“Il mordait sa nourrice. C’est sensible un sein. J’aime bien les enfants, mais je te lui aurais foutu sur la gueule!”
“Qui a dit : “Un roi sans divertissement est un homme plein de misères ?” “