50 portraits croisés, en miroir, en opposition, ou en parallèle s’enchaînent sur 225 pages. L’auteur s’amuse, facétieux, à jouer avec les mots et la langue française, en s’appuyant sur de nombreuses assonances et allitérations. C’est sympa, mais au bout de quelques doubles, on voit double, et on ne sait plus si on parle de Rugby ou de Littérature, de Cinéma ou de Politique, de Chanson ou de Personnages fictifs. Un conseil : Piochez donc une histoire de temps en temps, vous la savourerez mieux.
