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À la recherche du vivant – Iida turpeinen, traduit du finnois par Sébastien Cagnoli (292 pages)

Steller, scientifique du milieu du 18ème siècle part en expédition pour trouver d’autres chemins vers l’Amérique. Le commandant Bering mourra en laissant son nom au détroit, à la mer et à l’île où il est décédé. Le scientifique donnera son nom à plusieurs animaux, tous disparus, dont la rythine de Steller, cette vache de mer géante, sans prédateur depuis la préhistoire, qui va s’éteindre en moins de 30 ans. L’autrice raconte l’histoire de ce pauvre animal, mais aussi tous les méandres philosophiques qui ont accompagné ces exterminations. L’homme n’imaginait pas qu’il pouvait être à l’origine de l’ extinction d’une espèce. De même, il a fallu longtemps pour découvrir que les mammouths que l’on trouvait dans la tourbe n’étaient pas des animaux vivants sous terre qui mourraient en essayant d’en sortir, mais qu’il s’agissait de vestiges d’un lointain passé.

J’ai été intriguée par ce roman qui évoque des sujets originaux et pourtant d’une extrême actualité, puisque des espèces disparaissent chaque jour, à cause de l’homme. J’ai trouvé ça passionnant !

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