5 jours pour dévorer ce pavé… mais c’est uniquement parce que je n’ai pas pu lire tout le temps…
Un jeune écrivain en mal d’inspiration enquête sur la mort d’une jeune fille qui s’avère avoir été le seul amour de son professeur, ami, mentor, coach et presque père, écrivain célèbre. Le livre va de rebondissements en rebondissements. Qui est le coupable? Qui tente d’empêcher Marcus de mener son enquête? Est-ce que l’amour est interdit lorsqu’on a vingt ans d’écart? Harry, sur qui tous les soupçons pèsent est-il vraiment coupable?
On est tenus en haleine de bout en bout, pas étonnant que ce livre ait eu plusieurs prix.
On y retrouve l’Amérique puritaine, où l’amour entre un adulte et une adolescente est un crime absolu, mais où l’argent justifie la fin et les moyens pour les avocats et les éditeurs sans scrupules. Où le public s’offusque et se délecte en même temps des turpitudes des autres. Où le public s’entiche d’un jeune écrivain, riche et beau, parce qu’il est riche et beau, mais pas pour ses écrits.
J’ai dans ma besace, merci à l’ami qui me l’a donné, « le livre des Baltimore » du même auteur, j’espère qu’il sera tout aussi bon. A suivre…
Une réflexion au sujet de « La Vérité sur l’Affaire Harry Québert – Joël Dicker (665 pages) »