Surface – Olivier Norek (419 pages)

En cinq romans, Olivier Norek est devenu un incontournable du polar et a conquis un public de fans absolus, dévoués et prêts à tout pour le défendre bec et ongles (parfois bicolores, n’est-ce pas Aurélie ? 😉)

Après avoir assassiné un coéquipier dans Surtensions, Olivier Norek assassine quelques-uns de ses confrères dans ce roman, où comme dans les autres, grâce à son style fluide et la construction imparable de ses intrigues, on est totalement embarqué du début à la fin, quasi en apnée. Alors au détour d’un suspense haletant, on éclate de rire de ces petites facéties, et on se sent bien dans le cocon que représente le petit microcosme des auteurs de romans policiers. Cependant, l’apnée, on en a bien besoin dans cette histoire où un village englouti tient l’un des rôles principaux.

L’auteur change de capitaine, et c’est bien aussi, on s’attache tout de suite à Noémie Chastain, qui se retrouve écartée de son service après avoir été défigurée lors d’une mission. Elle n’a de cesse que de reprendre sa place au sein du 36, mais un incident qui s’avère être une enquête particulièrement complexe se produit dans le petit village de l’Aveyron où elle a atterri. Entre sa colère et sa tristesse, elle est consciente que sa reconstruction psychologique passera par la résolution de l’affaire. Plongeant !

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