Bon… je crois qu’il faut que j’arrête de lire des feel good moi. Souvent, je ne trouve pas ça drôle, pas fin, et je ne voudrais pas dégoûter ceux qui aiment le genre, après tout, tous les goûts sont dans la nature. Là, l’hybride entre l’enquête policière et le feel good, est carrément bizarre.
J’aurais dû me douter qu’une histoire qui commence par des vacances qui démarrent mal parce que le lisseur est en panne et que l’héroïne a perdu un escarpin était de très mauvais augure.
Elle fait attention à sa ligne, mais n’arrête pas de s’empiffrer, prend beaucoup de douches, se coiffe un nombre de fois hallucinant (à chaque douche), par contre, elle ne va pas aux toilettes (c’est une princesse, peut-être ?) et ne fait pas l’amour avec son petit copain. (Ils ont 27 ans, trop vieux, sûrement). Il faut dire que lorsqu’ils se couchent à 23h30, ils sont hyper épuisés, surtout que les vacances, c’est fatiguant quand une famille s’installe à la plage juste à côté d’eux. Et là ! alerte spoiler ! Dans les gîtes où ils sont, il y a un meurtre ! Dingue ! Anna et Roger mènent l’enquête. Ils sont super empotés, car nous, au bout de deux lignes, on sait qui est le meurtrier, et pourquoi. Bref, pour une bonne histoire avec un meurtre au cyanure, lisez plutôt le meurtre de Roger Ackroyd d’Agatha Christie. Je suis vaillamment allée au bout, c’est gnan-gnan.