Quatre nouvelles décrivent l’humanité du début à la fin. Oui, la fin, car l’auteur l’imagine. J’ai trouvé dommage qu’il n’y ait pas de fil conducteur entre les histoires mais c’est bien écrit et on aborde les problématiques actuelles de l’humanité. Les histoires sont toutes abordées sous l’angle du progrès, ce qu’il représentait à différentes époques de l’évolution humaine. Si on sait que la planète est en danger, il suffirait de bien peu pour faire écrouler notre fragile équilibre. Une sorte de préambule au livre de Jean Hegland « la forêt »
