J’avais découvert Jean-François Regnier au travers de son premier thriller : “Ma bête”, il me fait l’amitié de me confier la suite de l’histoire au travers d’”Une bête à tuer”. A la fin de “Ma bête”, on ne sait qui a survécu, alors bien sûr, je ne peux rien dévoiler du deuxième ouvrage, sous peine de déflorer (désolée, divulgâchage, je dis non) le suspens de la première histoire. Je peux juste vous dire que vous saurez tout de ce qui est arrivé à chacun, alors amateurs de thrillers où vous aimez connaître le dénouement, on fonce pour capturer la bête.