Victor est rentré invalide de la guerre de 14-18. Sa maigre pension lui permet de subsister chichement sans travailler, mais il se sent terriblement seul et donnerait tout pour avoir des amis.
De rencontre ratée en attentes démesurées vis-à-vis des personnes qu’il croise, Victor est toujours déçu.
Ce livre raconte la solitude comme jamais, avec une douce mélancolie et l’amertume des frustrés. Grâce aux éditions de l’arbre vengeur, ce petit opus découvert par Colette en 1924 est un bijou ressorti de l’oubli. Merci à eux pour leur confiance.