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Le parfum des cendres – Marie Mangez (236 pages )

Sylvain aurait dû être « nez » pour un grand parfumeur mais il est devenu thanatopracteur. Drôle d’idée. Alice papillonne dans la vie qu’elle veut toujours légère et a décidé sur un coup de tête de faire une thèse sur cet étrange métier, en suivant dans leur quotidien des gens qui l’exercent. Mais Sylvain ne se livre que très peu et ne facilite pas la tâche d’Alice.

Ce roman résolument moderne explore de façon originale nos cinq sens, en particulier l’odorat, tout en étant truffé de références musicales, de sensations, d’éléments visuels. Un hommage assumé au « parfum » de Süskind léger et grave à la fois, avec des expressions savoureusement imagées.

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